La Cène de Léonard de Vinci est une fresque murale qui représente le dernier repas de Jésus de Christ avec ses douze apôtres le soir du jeudi saint, juste avant d’être arrêté par les Romains. Soir, qui n’est autre que la veille du jour de sa crucifixion. On retrouve de gauche à droite les douze apôtres entourant Jésus: Barthélemy, Jacques le Mineur, André, Judas, Pierre, Jean, Jésus, Thomas, Jacques le Majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée et Simon.
Considérée par les Chrétiens comme un des piliers de la foi chrétienne, elle représente la commémoration d’institution de l’Eucharistie. L’Italie étant le berceau du catholicisme, les souverains de l’époque, les Sforza, envisageaient de faire du couvent de la Sainte Marie Des Grâces un mausolée. Ainsi, le jeune duc, Ludovic Sforza fit appel aux services de Léonard De Vinci et quelques autres artistes peintres pour décorer la chapelle, le réfectoire et certaines pièces du couvent. Et c’est ainsi qu’en 1494, Léonard commença son chef-d’œuvre.
La Cène, peinte par le génie et l’illustre Léonard de Vinci a des dimensions hors du commun, elle a une longueur de 8,80m sur 4,60m de hauteur. Elle a été peinte sur l’un des murs du réfectoire du couvent de la Santa Maria delle Grazie, un couvent Dominicain situé à Milan, en Italie. Il semblerait que Léonard de Vinci se soit inspiré de l’œuvre d’Andrea Del Castagno qu’il aurait vu à Florence peu avant de réaliser son chef-d’œuvre. Mais étant lui-même un grand observateur des écrits bibliques, il a su capter l’essence-même du moment où Jésus annonça à disciples que l’un d’eux allait le trahir. La réalisation de cette peinture, commanditée par le duc Milan, Ludovic Sforza, lui a pris alors quelques années. Il l’a entamé vers 1494 ou 1495 et ne l’achève qu’en 1498. Pressé par le chancelier de Milan et le prieur, qui lui demanda d’accélérer la cadence, il n’en fit rien et s’est même défendu devant le duc, le même qui a fait construire notamment l’Abside ou encore le Turion où repose son épouse, Béatrice d’Este.
Quant à Léonard de Vinci, il s’est vu partager entre deux œuvres dont Il Cavalli et la Cène qui nous intéresse. Comme d’usage, la Cène a été peinte dans le réfectoire du couvent. Une scène de repas dans un réfectoire n’est pas hors de propos. Après toutes les intempéries et les siècles qu’elle a traversé, la Cène y est encore pour ravir les yeux des visiteurs et des amateurs d’art.
À cette époque, à la renaissance, l’on n’avait encore jamais entendu parler de 3D, mais en observant la Cène, on aurait dit que Léonard de Vinci en est le précurseur. Un trompe l’œil sur le plafond prolonge la salle. Grâce aux techniques appliquées, souvent, les visiteurs qui se retrouvent directement en face de la fresque se croient être devant des statues ou encore ont le sentiment de se trouver à cette même table. On a cette impression que le regard de Jésus nous suit qu’importe l’emplacement par rapport au mur. Notre génie a centré ses dessins sur Jésus.
Pour ce qui est de la technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci pour La Cène, notre génie a opté pour la « tempera » (appelée également détrempe). Commençant avec une fine couche préparatoire sous les esquisses, il enduit la terre rouge de carbonate de calcium et de magnésium. Pour la dernière étape, l’imprimatur a fait ressortir les couleurs. En finition, il applique une émulsion d’œuf et d’huile dont on en est moins sûr (la tempera proprement dit). Mais cette technique a une faille, celle de ne pas résister à l’humidité. La Cène, une fois terminée, fut par la suite, par tradition, peinte dans de nombreux monastères.
Quelques années après son achèvement, l’humidité a eu raison de la fresque de La Cène. Antonio da Beatis a déclaré en 1517 qu’elle était en état de dégradation à cause de l’humidité pour cause de malfaçon en faisant sans doute référence à la technique que Léonard de Vinci a choisi. Et au fil des siècles, l’œuvre a été mainte et mainte fois maltraitée. Les occupants du monastère ont jugé bon de poser une porte pour faire communiquer le réfectoire et la cuisine, gâchant totalement la partie basse du chef-d’œuvre. Par suite, la même salle a servi d’écurie à l’armée napoléonienne et cerise sur le gâteau, le monastère a été bombardé. Par le plus heureux des hasards, le mur est resté intact.
Entre temps, certaines mesures ont été prises pour restaurer et préserver la fresque. La première de ces mesures a eu lieu en 1726 par Michelangelo Bellotti. Mais apparemment, cette intervention aurait empiré son état. En 1770, Giuseppe Mazza a tenté de réparer les dégâts. Stoppé en plein travail, il n’a pu rien faire. Andrea Appian et Bernardino Luin tentèrent à leur tour de la détacher sans mais sans succès. En 1901, Luca Beltrami et Luighi Cavenaghi ont utilisé une technique plus moderne, la photographie mais ne parvenant pas à leur fin Oreste Silvestri est entré en jeu peu avant le bombardement du couvent. Mauro Pellicioli a aussi tenté de raviver la Cène mais après une première intervention avant 1901, Pinin Brambilla Barcilon est revenu à la charge. Sa campagne a durée plus de 20 ans, de 1978 à 1999. En total, il y a eu pas moins de 5 interventions pour tenter de rendre sa jeunesse à l’œuvre de Leonard de Vinci.
De par sa symbolique La Cène fut copiée et très souvent parodiée voire revisitée d’où la présence de ce site qui me sert à essayer de recenser petit à petit les différentes versions de La Cène.
FAQ – Question fréquentes sur ce tableau majeur
Q: Qu’est-ce que la Cène ?
R: La Cène est un tableau de Léonard de Vinci qui représente le dernier repas que Jésus a pris avec ses disciples avant d’être crucifié.
Q: Qui a peint la Cène ?
R: Léonard de Vinci a peint la Cène.
Q: Quand la Cène a-t-elle été peinte ?
R: La Cène a été peinte entre 1495 et 1498.
Q: Quelle est la signification de la Cène ?
R: Il n’y a pas de réponse unique à cette question car le tableau peut être interprété de nombreuses façons. Certaines personnes pensent qu’il s’agit d’une peinture sur la trahison, d’autres pensent qu’il s’agit d’une peinture sur l’amour et le pardon.
Q: Quelle taille est la Cène ?
R: La Cène mesure 460 cm x 880 cm.
Q: Quel est le support de la Cène ?
R: Le support de la Cène est la peinture.
Q: Quelle technique a été utilisée pour peindre la Cène ?
R: La technique utilisée pour peindre la Cène est la détrempe.
Q: Quelle est la état actuel de la Cène ?
R: L’état actuel de la Cène est mauvais. La fresque a été endommagée par l’humidité et a été restaurée plusieurs fois.
slt a vous merci car ca ma bien aidez pour ,faire ma recherche sur la cene de leonard de vinci
….merci encore !!!
Merci grace a vous j’ai plus compléter ma recherche sur internet en cour 🙂
Je suis en 5ème de Vinci (Léonard) je doit faire des recherches sa ma beaucoup aidez Merci!
mrc je suis en 6eme et on doit faire des recherche dessus merci bcp
mrc a vous car sans se cite je pourrai pas faire mon exposé 🙂
J’apprends ce tableau en cours car je suis en sixième et je suis contente de voir les mesures de ce tableau
Il est super grand
C est super mais… Je n’est pas trouvé mon bonheur (ce que je cherchait)
J’aurai voulu savoir ou est t il conservé et sur quoi est t il fait mais enccor avec quel matériaux
Merci ça m’a bien aidée .
C’était tres interressant .
Merci !
merci beaucoup pour cette super bio du tableau parce que j’en avait hyper besoins pour ma culture religieuse (sinon j’aurais eu 1h de colle :/ ) merci encore 🙂 !
il est cool le site j’ai trouver se que je chercher
El tema no es la traición, sino la respuesta del sabio (Sócrates) y Cristo al mal. (Platón, Critón)
La última triade platónica muestra el diálogo de Platón, algún teólogo, y Ficino (De amore commentarium in convivium platonis)
La penúltima triade platónica dice que el amor es el deseo de la belleza que se perfecciona en Dios.
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